Depuis plusieurs mois, un salarié de la SNCF se bat pour mettre en lumière des marchés frauduleux contractés par la société de chemins de fer dans le domaine informatique, favorisant le géant américain IBM. Des “infractions pénales instituées dans un but d’intérêt général”, rétorque la justice, au moment de rejeter sa demande de constitution de partie civile.
C’est l’histoire d’un retour d’ascenseur à grande échelle. À la SNCF, IBM possède, depuis plusieurs années, un crédit inébranlable au moment d’attribuer des marchés informatiques. Au point de prendre quelques libertés avec la loi.