Avec des gains de productivité fixés aux alentours des 6% quelle que soit la filière ou l’activité, ce sont bel et bien les cheminots du terrain qui continuent de payer aujourd’hui les pots cassés d’une réforme ferroviaire qui ne règle rien et ne fait qu’aggraver la déliquescence du système ferroviaire.
Cette violence patronale dans les décisions, cette constance à faire porter l’ensemble des conséquences des décisions contestables voire schizophréniques du directoire SNCF ou du gouvernement sur les salariés, est devenu aujourd’hui totalement insupportable pour les cheminots du terrain !
En 2017, je souhaite continuer à faire payer la facture de la réforme ferroviaire aux cheminots !
Des gains de productivité dignes d’un Thénardier !