Le gouvernement Macron espérait faire circuler le premier train "privé" avant la prochaine élection présidentielle pour montrer, après la contre-réforme ferroviaire de 2018, que la concurrence était bien effective et lancée dans le ferroviaire. Après le retrait des 3 candidats du privé (Transdev, Arriva et Eurorail) à qui le gouvernement avait pourtant déroulé le tapis rouge en cédant à toutes leurs demandes, il restait en lice la seule filiale SNCF créée pour l’occasion.