La direction de la SNCF se vante régulièrement de lutter contre les violences sexistes et sexuelles au sein de l’entreprise et dans les trains. Elle multiplie les coups de comm’, affiches en gare ou encore déclarations en grande pompe le 8 mars. Malgré les intentions affichées, la réalité est loin d’être celle que décrit la direction. Lorsque Marion, cheminote à Strasbourg, a dénoncé l’agression sexuelle qu’elle a subie au travail, et lorsque Régis, délégué SUD-Rail, a voulu l’accompagner, la direction n’a trouvé rien de mieux que d’ouvrir une procédure de licenciement ...
à leur encontre !