Le conflit des ASCT de décembre 2022 et février 2024, la menace d’un préavis sur les ponts du mois de mai 2024 tout comme le conflit des retraites de 2023 où les cheminot-e-s ont pris toute leur place ont mis en lumière que les dispositifs actuels de fin de carrière de la SNCF, qui datent de 2008, n’étaient plus efficients, ne serait-ce parce qu’en 2008 l’âge de départ était de 50 ou 55 ans. Trop compliqués, pas assez rémunérateurs, pas assez longs, pas de prise en compte des contractuel-le-s … Au final, les dispositifs actuels n’étaient utilisés que par 12% des cheminot-e-s.
Toujours guidé par la volonté d’avancées sociales pour les cheminot-e-s, c’est bien sur ces 4 aspects et celui de la réduction de la pénibilité que SUD-Rail a multiplié les propositions et les actions pour que la SNCF reconnaisse ces éléments et y apporte des réponses de haut niveau !